Dans la nuit bretonne à danser, sur fond de boîte à rythme survoltée, une guitare punk saturée s’unit alors au chant traditionnel partisan et aux thèmes frénétiques d’un couple de sonneurs. Les airs restent fidèles au répertoire et au style des anciens, la langue bretonne s’enroule et se déroule, au gré des gavottes, laridés, plinn, hanter-dro et autres kas a-barh.
Les paroles d’origine sont souvent détournées, au profit d’un regard contestataire et actuel sur notre monde.
Le cocktail punk-trad est détonnant.
Entre modernité et tradition, canal punk et canal historique fusionnent dans l’héritage de
l’insoumission bérurière, et l’on assiste à la naissance d’une véritable révolution culturelle et
transgénérationnelle !
Après maintenant près de 1500 concerts survoltés à leur actif, les Ramoneurs embrasent tour à tour la Bretagne, puis la France, une partie de l’Europe (Belgique, Suisse, Écosse, Espagne, Allemagne, Pays-Bas etc.), sans oublier les tournées au Québec…
Les paroles d’origine sont souvent détournées, au profit d’un regard contestataire et actuel sur notre monde.
Le cocktail punk-trad est détonnant.
Entre modernité et tradition, canal punk et canal historique fusionnent dans l’héritage de
l’insoumission bérurière, et l’on assiste à la naissance d’une véritable révolution culturelle et
transgénérationnelle !
Après maintenant près de 1500 concerts survoltés à leur actif, les Ramoneurs embrasent tour à tour la Bretagne, puis la France, une partie de l’Europe (Belgique, Suisse, Écosse, Espagne, Allemagne, Pays-Bas etc.), sans oublier les tournées au Québec…